Les bloggers ont la parole sur Désirs d'avenir 31 (Che64 lepost)

Extrait du message de Che64 : Ségolène Royal face au bal des hypocrites

Les médias et les décideurs ou capitaines d’industrie qui les possèdent : Sans aucun doute les pires des malfaisants. Ils l’ont bien compris, ces maîtres de la finance, que leur marionnette  Sarkozy est totalement calcinée. Il leur faut donc en changer, et ils s’y emploient savamment, nous abreuvant jusqu’à plus soif des compétentes vertus de celui qu’ils ont décidé de nous imposer, venu de Washington, où il a été à bonne école. Pour cacher un peu la grosse ficèle, ils feignent d’admettre la possibilité d’autres remplaçants, en nous vendant d’hypothétiques scénarii de deuxième tour, desquels ils prennent grand soin d’écarter Ségolène ROYAL. Car ils savent qu’avec ROYAL, fini les privilèges de l’impérialisme. Terminé la corruption et la manipulation à tous les étages du pouvoir. Une République assainie, plus juste, se protégeant des lobbys, exigeant transparence, étique, partage équitable des richesses, sont autant de  répulsifs auxquels sont allergiques ces voyous en cols blancs.

Le peuple ne sera pas dupe de ces grossières manœuvres associées

Les puissants qui nous imposent leur dictature de l’information, prennent le risque au final d’affaiblir le pouvoir politique au bénéfice de mouvements activistes, instrumentalisés par certains, alimentés par l’exaspération collective. Les primaires socialistes ont vocation à permettre de désigner le ou la candidat(e) du Parti Socialiste nous dit-on, et c’est sans doute là le problème, car le bonne formule serait « le ou la candidate Socialiste », et non de l’appareil socialiste. La notion d’appareil sous entend combinaisons de couloirs, dont au demeurant nous avons déjà eu de malheureux aperçus dans un récent passé. Ségolène ROYAL est Socialiste, mais elle s’efforce de dépasser l’appareil, et elle y parvient si bien que ses plus notoires camarades ont choisi de l’y marginaliser. Peine perdue, elle avance, plus déterminée que jamais, abandonnant  aux archaïques les plans com pour ne rien dire.